Natural Bridge - Tsegi
A notre réveil, le ciel est tout couvert. On se dépêche de déjeuner et de plier la tente avant la pluie. Bien nous en pris, cette dernière nous accompagne dans notre descente vers Gooseneck que nous renonçons à visiter avec ce temps pourri.
La descente vers Mexican Hat est superbe, nous nous y réchaufons avant de rentrer à nouveau dans le pays Navajo que nous n’allons plus quitter pendant une semaine.
A Monument Valley, nous louons un guide et une vieille jeep pour faire un grand tour. Les mitten, les buttes éléphants et du chameau, les mesa de la pluie et du tonnerre. Il nous fait la totale et c’est passionant.
Nous apprenons comment les chamans vont faire leurs offrandes sur rain mesa, les 4 points cardinaux: nord-noir-mort-abalone ,est-jaune-naissance-or, sud-bleu-adulte-turquoise et ouest-blanc-shell-vieillesse. Le guide nous parle aussi du chef Hoskinini qui s’est échappé des griffes de Kit Carson et s’est caché pendant 6 ans. Cette visite restera l’un des meilleurs souvenir de notre voyage.
Nous nous rafraîchissons dans un motel de Kayenta avant de jeter un oeil sur la falaise de Betatakin. C’est trop beau, mais notre planing ne nous permet pas de nous attarder. Nous voyons aussi Black Mesa, la grande mine de charbon qui est le sujet d’une grande controverse chez les Navajos.
25.07.01
Tsegi - Hopi
Dans notre motel indiens, nous buvons le meilleur chocolat chaud du voyage (et dans des tasses en porcelaine). Il pleut et nous voyons Elephant Feet un peu avant Tuba City ou nous mangeons chez Kate et c’est très bon. Kim s’achète une lance dans un trading post.
Après les éléphants, nous visitons les dinosaures. Dans la roche rose, des traces de vélociraptors, de ptérodactyles , des griffes et des oeufs. Le guide nous montre très bien tout ça et Leila achète un collier à la maman du guide.
Martine nous perd en indiquant tout faux, mais nous trouvons tout de même le Coal Mine Canyon.
Nous arrivons dans la réserve Hopi et nous visitons le plus vieux village des US. Martine est de mauvaise et nous nous replions en vitesse. La région est vraiment pauvre et il est difficile de ne pas se sentir mal à l’aise. En fait les Hopis maintiennent férocement leur culture et refusent le matérialisme américain.
Le temps est très mauvais et nous sommes très contents dans notre motel du centre culturel Hopi.
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